Comme est entrée prudemment dans mon cœur d’or qui est tien, tintent les grelots, les sonnettes, les cloches. Il semble que j'ai trouvé tout ce que je demande. Peut être, est ce seulement un nouveau mirage, une tromperie éphémère et sucrée, Par moi, l’océan, les Ondes et les mouettes, le ciel et le vent des espoirs, Se lieront les paumes, et le temps, pour eux, arrêtera sa course, S'attarder pour un instant, je veux rester ici, Si, heureusement, je brûle chaque cœur d’or, les couchers de soleil, les aubes, dans le coin des yeux, rayonnant.
Le Ciel étincelle, les feux flambent et, au coeur , une explosion éblouissante se bat et se déchire.
A l'extérieur, le rayonnement. Ses montants sont grands.
Mieux vaut ne pas regarder, ne pas penser, cacher la faiblesse.
Ne pas retenir, ne pas rendre, ne pas détruire.
Le monde entier, pour un instant, cessera de tourner.
Regarder. Non, voir. Et respirer. Non, vivre.
Nous ne violerons pas le silence,
En rayonnant…
Mais le désert et l'errance se sont soudainement achevés.
Mais j'ai peur de l'eau.
Le monde entier, pour un instant, cessera de tourner
Regarder. Non, voir. Et respirer. Non, vivre,
Nous ne violerons pas le silence,
En rayonnant…
La magie ne disparaîtra pas et les secrets ne s'épuiseront pas pour toujours,
Le nectar propre des rêves solaires et des désirs,
Deux rêves multicolores dans le verre fin...
Regarder. Non, voir. Et respirer. Non, vivre,
Nous ne violerons pas le silence,
En rayonnant…
Les regards se rencontrent, le cercle se referme.
Blue.Orchid
Si on me presse de dire pourquoi je l’aimais, je sens que cela ne se peut exprimer qu’en répondant: «Parce que c’était lui, parce que c’était moi.» Montaigne.
Mercredi 21 juillet 2010 à 15:51